Des signaux inquiétants rapportent des délais d’attente en hausse, avec des pics pour certains secteurs identifiés. Des examens d’imagerie, comme les résonances magnétiques, sont retardés, notamment en raison de la pénurie de technologues et de la limitation des équipements lourds.
Le plaidoyer est évident : il nous faut le plus rapidement possible des indicateurs clairs, adéquatement segmentés (par spécialité, par bassin de soins), régulièrement mis à jour, afin de pouvoir s’attaquer aux causes racines le plus efficacement possible et mesurer les progrès. Pour que nous puissions continuer à bénéficier d’un système de soins de santé avec la plus haute accessibilité.
Le KCE mentionne bien dans les études en cours la proposition d’un système de monitoring des temps d’attente pour la Belgique, avec un focus sur l’hospitalier, mais sans diffusion de résultats à ce stade.
Dans notre baromètre hospitalier, réalisé en 2021, la dimension évaluée comme la moins satisfaisante laisse pourtant peu de place au doute: « Les délais d’obtention d’un rendez-vous sont courts». Seuls 33% des 2.000 personnes interrogées étaient d’accord avec cette affirmation
Le plaidoyer est évident : il nous faut le plus rapidement possible des indicateurs clairs, adéquatement segmentés (par spécialité, par bassin de soins), régulièrement mis à jour, afin de pouvoir s’attaquer aux causes racines le plus efficacement possible et mesurer les progrès. Pour que nous puissions continuer à bénéficier d’un système de soins de santé avec la plus haute accessibilité.